À propos de nous
Au service de l'excellence dans les sciences aquatiques depuis 1908
Fondée en 1908, la station de biologie de St. Andrews est le centre de recherche maritime permanente le plus ancien du Canada atlantique. Les scientifiques y étudient la science des écosystèmes dans le cadre du mandat ministériel de Pêches et Océans Canada pour gérer, réglementer et soutenir les activités humaines dans les eaux canadiennes.
La station étant située sur les côtes de la baie Passamaquoddy à St. Andrews, au Nouveau-Brunswick, les études scientifiques se concentrent sur la baie de Fundy et le golfe du Maine ainsi que sur les écosystèmes côtiers et les pêches traditionnelles de la Nouvelle-Écosse et de l'Île-du-Prince-Édouard. Une grande partie de notre travail s'effectue en collaboration avec des universités et des groupes environnementaux ainsi qu'avec les industries de l'aquaculture et de la pêche.
La recherche scientifique est menée sur de nombreux thèmes, y compris : Aquaculture, Biodiversité, Changements climatiques, Océanographie côtière, Pêches et Espèces en péril.
En 2012, un grand projet de rénovations a eu lieu à la station de biologie, ce qui a permis d'ouvrir deux installations à la fine pointe de la technologie – un bâtiment des sciences de 4 500 m2 et un aqualab de 2 900 m2 comprenant des gardoirs, des laboratoires et une installation de bioconfinement aux fins de recherche sur les animaux aquatiques vivants.
Les autres caractéristiques du campus comprennent une installation supplémentaire de parcage du poisson qui abrite des espèces de poissons adultes (stock de reproduction) pour fournir des espèces vivantes aux fins de recherche et le navire de la Garde côtière canadienne Viola M. Davidson, un navire de recherche spécialisé de 18,5 m mis en service en 2010, ainsi que des navires plus petits, un quai et un centre de conférence. La station collabore aussi avec le Centre des sciences de la mer Huntsman pour exploiter le Centre Référence Atlantique, un musée de recherche abritant plus de 8 000 espèces marines du Canada atlantique.
La station de biologie compte quelque 80 employés à temps plein. Les boursiers de recherches postdoctorales, les scientifiques en visite et les étudiants sont également les bienvenus.
Histoire
La première station de recherche en biologie marine du Canada ouvert ses portes à St. Andrews en 1899. Il s'agissait d'un petit laboratoire mobile qui ressemblait en quelque sorte à un wagon de chemin de fer Pullman. Après deux ans à St. Andrews, le laboratoire a été installé à divers endroits des Maritimes et au Québec jusqu'en 1907. Kenneth Johnstone, dans son ouvrage The Aquatic Explorer : A History of the Fisheries Research Board of Canada, écrivait que les documents scientifiques qui ont commencé à s'accumuler par suite des travaux effectués pendant l'été à la station mobile ont persuadé le milieu scientifique de l'utilité et de l'importance de cette station pour le développement de la science ichtyologique. Il ajoutait également que les documents en question traitaient souvent de problèmes auxquels se butait l'industrie canadienne de la pêche, ce qui venait encore justifier l'existence de la station.
Par la suite, l'Office de biologie du Canada a décidé qu'il fallait établir une station biologique permanente sur la côte Atlantique. On a choisi St. Andrews comme emplacement, principalement en raison de la diversité du milieu biologique et physique dans la baie Passamaquoddy et la baie de Fundy et à cause de la proximité des activités de pêche commerciale du hareng, du poisson de fond et d'invertébrés. La Station biologique de St. Andrews (désignée au départ comme Station biologique de l'Atlantique) a ouvert ses portes en 1908 sur un terrain de 1,4 hectare à Brandy Cove, près de l'embouchure de la rivière Sainte-Croix. Les installations initiales incluaient un laboratoire principal, une résidence et un petit quai. Au début, la Station n'était ouverte que pendant l'été, période du travail sur le terrain, généralement de mai à septembre. Ce n'est que depuis 1928 que la Station est ouverte toute l'année.
En 1932, le laboratoire et son importante bibliothèque ont été la proie des flammes. C'était la crise économique et les fonds pour la reconstruction étaient plutôt rares. Le directeur du moment, A.G. Huntsman, a transféré des fonds des budgets de fonctionnement scientifique de la Station, y compris du budget des salaires, et le nouveau laboratoire a été presque immédiatement reconstruit.
Les scientifiques de la Station biologique sont reconnus à l'échelle nationale et internationale pour leurs travaux de recherche novateurs et leur contribution à l'industrie. Les études initiales ont surtout porté sur l'identification de la flore et de la faune dans la baie, sur l'océanographie et sur les espèces importantes pour la pêche commerciale, comme le homard, les huîtres, les coques, les pétoncles, le hareng, la truite, le saumon et le poisson de fond. Les scientifiques de la Station ont acquis un savoir-faire considérable dans chacun de ces domaines et, dans certains cas, ont initié des pratiques de conservation et des règlements de pêche. Par exemple, dès 1918, les chercheurs de la Station ont mené une campagne d'information auprès de l'industrie du homard relativement à la conservation des femelles, ce qui entraîné des modifications aux règlements liés à la pêche au homard. En 1945, les scientifiques ont commencé à recueillir les registres des pêcheurs commerciaux de poisson de fond, une pratique qui se poursuit aujourd'hui et qui facilite l'évaluation des stocks. Plus récemment, des chercheurs de la Station ont joué un rôle principal dans la mise en oeuvre d'un modèle novateur de gestion des pêches pour l'industrie du hareng dans la région de l'Atlantique. Cette pêche, pratiquée à l'aide d'engins de pêche multiples, a été l'une des premières à être gérée dans le contexte de la pêche à accès limitée et à être exploitée dans les limites du total des prises admissibles. Au début des années 1970, les scientifiques de la Station ont entrepris des expériences sur de jeunes saumons de l'Atlantique hivernant dans les eaux de la baie de Fundy afin de déterminer si l'élevage du saumon en cage marine serait viable. Après bien de la persévérance, cette étude a tracé le chemin d'une industrie maintenant évaluée à 100 millions de dollars par année.
Au début des années 2000s, les recherches de la SBSA sur le flétan de l'Atlantique ont donné de bons résultats : de la production du premier flétan en Amérique du Nord au transfert de la technologie à l'industrie. La SBSA on fini ses recherches sur les marqueurs génétiques et les méthodes de production afin d'améliorer les stocks de géniteurs, notamment par la production d'une descendance exclusivement femelle, dont la croissance est plus rapide et plus importante, dans l'espoir de maximiser les profits.
Les recherches de la SBSA sur la culture de la morue, les méthodes de collecte des œufs, de production de nourriture pour espèces aquacoles et de conception des bassins ont été peaufinées. En 2004, les premières familles de morues génitrices en Amérique du Nord ont été produites. La SBSA est d'ailleurs un partenaire important du Projet de génomique et d'amélioration du stock de géniteurs de la morue, un projet destiné à identifier et à sélectionner les meilleurs stocks de géniteurs grâce à l'élevage sélectif et à la cartographie génétique.
Les scientifiques de la station de biologie ont en outre joué un rôle déterminant relativement à la mise sur pied d'outils à la fine pointe de la technologie pour assurer le suivi des espèces de poissons comme le saumon de l'Atlantique, le thon rouge de l'Atlantique et l'espadon de l'Atlantique, afin de documenter leurs profils de migration dans l'océan Atlantique et ailleurs.
En 2012, un grand projet de rénovations a eu lieu à la station de biologie, ce qui a permis d'ouvrir deux installations à la fine pointe de la technologie – un bâtiment des sciences de 4 500 m2 et un aqualab de 2 900 m2 comprenant des gardoirs, des laboratoires et une installation de bioconfinement aux fins de recherche sur les animaux aquatiques vivants.
Les autres caractéristiques du campus comprennent le navire de la Garde côtière canadienne Viola M. Davidson, un navire de recherche spécialisé de 18,5 m mis en service en 2010, ainsi que des navires plus petits, un quai et un centre de conférence. La station collabore aussi avec le Centre des sciences de la mer Huntsman pour exploiter le Centre Référence Atlantique, une collection de recherche abritant plus de 8 000 espèces marines du Canada atlantique.
Atlantic Reference Centre
Installations de SBSA
Les installations de la SBSA occupent 9,3 hectares à Brandy Cove. Elles comprennent des bureaux, des laboratoires secs et des aqualaboratoires, un atelier, un édifice pour l'entreposage de produits chimiques, un centre de conférence, des installations informatiques, une bibliothèque et un quai.
Située sur les rives de la baie Passamaquoddy, la SBSA possède des installations de traitement de l'eau ultramodernes pour répondre aux besoins à la fois de ses laboratoires d'eau douce et d'eau salée, soit une superficie totale de plus de 2 900 mètres carrés. Le quai est accessible à longueur d'année. C'est à partir de ce quai que les scientifiques peuvent monter à bord du navire de la Garde côtière canadienne Viola M. Davidson pour réaliser des travaux de recherche tous les jours. Quatre autres navires de recherche plus petits et de nombreux zodiacs sont également sur place.
Le campus de la station compte de nombreux bureaux, laboratoires et lieux de conférence. Les principales installations sont les suivantes :
1. L'immeuble Penhallow (M. David Penhallow [Ph. D.])
Ce bâtiment de 4 500 mètres carrés a ouvert ses portes en 2012. Il offre au personnel de la station des bureaux, 37 laboratoires analytiques avec de l'équipement de pointe et des hottes, des installations d'entreposage de spécimens ainsi qu'un centre informatique. On peut également y trouver des salles de conférence équipées d'un tableau blanc électronique et de matériel de vidéoconférence.
2. Le laboratoire Needler (Mme Alfreda P. Berkeley Needler [Ph. D.])
Cet aqualab de 2 900 mètres carrés a été fondé en 2012. Il permet au personnel de faire des recherches sur des spécimens marins vivants pour appuyer les pêches, l'aquaculture, la biodiversité et les changements climatiques. En voici quelques fonctions :
• Un total de 18 laboratoires photopériodiques isolés dans lesquelles l'on peut réguler la photopériode (régimes de lumière) et les températures de l'air et de l'eau afin de créer des conditions précises dans le cadre de projets de recherche particuliers.
• Une écloserie de grande taille contenant environ 76 bassins d'éclosions et 44 bassins de larves. La capacité de refroidir l'air ambiant permet de mieux régulariser la température des bassins et de maintenir un faible débit des eaux durant les premiers stades du cycle biologique des poissons. Par commodité, trois laboratoires spacieux destinés à l'élevage de la nourriture vivante (les organismes dont se nourrissent les larves de poissons marins) se situent au deuxième étage.
• Un laboratoire en forme de canal venturi muni d'équipement spécialisé permet aux chercheurs d'observer le comportement d'animaux marins dans un environnement contrôlé.
• Un laboratoire de quarantaine ou de bioconfinement pour les recherches portant sur les maladies associées au poisson d'élevage. Il s'agit du seul laboratoire de la côte Est du Canada équipé d'une technologie fiable à circulation directe, et offrant un accès à de l'eau douce et de l'eau de mer de haute qualité à différentes températures.
Résidence no 5 (Édifice Esther Lord)
La résidence de la Station biologique de St Andrews, à St Andrews, au Nouveau-Brunswick (également connue sous le nom d’édifice Esther Lord) est un édifice fédéral du patrimoine classé en raison de son importance historique, de l’intérêt qu’il présente sur le plan architectural et de la place privilégiée qu’il occupe au sein de son milieu.
La résidence a été construite en 1908, année de l’inauguration de la mise en service de la station biologique de St. Andrews. Destinée à l’origine à héberger les chercheurs scientifiques qui travaillaient à cette station isolée, elle leur offrait une bibliothèque avec salle de lecture-salon et un espace individuel de travail dans chacune des chambres. La résidence comptait également une salle à manger. On ne connaît pas le premier architecte. La résidence est un bel exemple du style Domestic Revival américain, un style développé vers 1880 et qui était populaire dans les premières décennies du 20e siècle.
© Pêches et Océans Canada, 1998
La résidence de trois étages et demi servait de quartiers d’été au personnel et les éminents scientifiques en visite. La plupart des travaux se faisaient dans la bibliothèque et dans la salle de lecture-salon, dans un cadre favorable aux échanges personnels et stimulant pour trouver de nouvelles idées. La résidence est donc étroitement liée aux premiers travaux scientifiques de recherche les pêches au Canada.
De nombreux pionniers et éminents scientifiques y ont résidé, notamment le Dr J.J.R. MacLeod, qui, avec Frederick Banting, a reçu le prix Nobel pour le traitement du diabète par l’insuline; le Dr V.A. Huard, qui a été largement publié et qui fut le rédacteur en chef du Naturaliste canadien; le Dr Archibald Knight, qui a incité le gouvernement à créer les stations biologiques de St Andrews et de Nanaimo; le Dr Archibald Macallum, qui devint le premier président du Conseil national de recherches du Canada et plus tard dirigea le département de biochimie de l’Université McGill.
En 1923, un agrandissement majeur conçu par Charles Bruce, ingénieur en chef au ministère des Pêcheries, a été réalisé. En 1944, la résidence fut convertie lieu de travail. Jusqu’en 2018, l’édifice servait de lieu de travail et de lieu de réunion pour le ministère des Pêches et des Océans, lorsqu’une évaluation structurale établit que son occupation n’était plus sécuritaire. Depuis lors, l’édifice devint vacant et fut mis hors service. Voir le rapport sur les bâtiments du BEÉFP 97-103.
Avec son large toit à pignons croisés et ses trois étages et demi, la résidence se distingue par sa présence et son échelle humaine obtenue grâce à la texture et aux détails. L’annexe sensible de 1923 a considérablement agrandi l’espace fonctionnel. De plus, la véranda à deux étages a ajouté un lieu de rassemblement pour les fonctions sociales et académiques. Des éléments rustiques agrémentent la volumétrie simple en forme de L de l’édifice. La disposition ainsi que le regroupement des fenêtres de l’annexe de 1923 contrastent avec la disposition conservatrice des fenêtres de la façade originale visible de ce qui est maintenant une aile arrière légèrement en retrait, tout en la complétant. La véranda de deux étages de 1923, qui n’existe plus, était un élément important qui renforçait le lien du bâtiment avec le sol. Cela facilitait la transition entre les espaces intérieurs et extérieurs et par le fait même, adoucissait le lien entre les façades informelles de 1923 et formelles de 1908.
La charpente et le revêtement en bois de la résidence, avec un bardage en cèdre, complètent le cadre naturel de son emplacement à flanc de colline. Les détails des fenêtres du premier et du deuxième étage, la disposition des ouvertures des fenêtres et des portes, la couleur naturelle et la texture des matériaux contribuent au caractère résidentiel de l’édifice.
Les espaces intérieurs de la résidence ont conservé certains de leurs éléments d’origine, tels que les plafonds en bois avec des poutres caissonnées et des panneaux entre elles, plusieurs portes à panneaux, les cheminées d’origine dans le salon et la salle à manger, ainsi que les fenêtres avec leurs quincailleries.
L’importance environnementale de l’édifice est due à son cadre naturel dans le campus de la station, à son emplacement près de la zone opérationnelle de la station, et à son importance en tant que plus ancien édifice encore existant. La résidence est située au pied d’une colline bien arborée, avec vue sur la baie de Passamaquoddy ainsi que sur les activités du laboratoire et de la pisciculture.
Visite virtuelle
Jetez un coup d'œil à l'intérieur et aux alentours du bâtiment Esther Lord. Cette visite virtuelle a été créée dans le but de préserver le bâtiment et son histoire, car il n'est plus accessible pour des raisons de sécurité.
Version texte
Face à l’édifice Esther Lord, vous pouvez apercevoir les trois étages complets et la toiture à la Mansart. Des fenêtres aux boiseries blanches sont disposées en symétrie à chaque étage. L’édifice comporte des bardeaux de cèdre bleu pâli.
En 1923, on a construit une annexe à l’avant de l’édifice. Cette annexe a modifié l’empreinte du bâtiment d’une forme rectangulaire à une forme en L. De l’avant (entrée latérale ouest) de l’édifice, vous pouvez voir cette annexe.
Un trottoir mène de l’entrée à un bâtiment gris d’un étage appelé le laboratoire expérimental. L’anse Brandy, un grand plan d’eau, est visible derrière vous.
Lorsque vous vous trouvez sur la pelouse du côté sud de l’édifice, vous pouvez aussi voir le flanc de colline. Quelques jeunes arbres ainsi que des buissons bruns s’y trouvent. Une structure d’un étage est située à l’avant plan et contient une voûte, c’est-à-dire une chambre forte servant généralement à l’entreposage. Elle est peinte en gris et comporte un toit à pignons à bardeaux verts.
Du côté est de l’édifice, deux passerelles surélevées forment des passages du troisième étage jusqu’au sommet de la colline. Les bardeaux de cèdre se terminent au-dessus des fenêtres du rez-de-chaussée pour révéler la fondation en béton. On peut apercevoir le toit des chalets 3 et 4 au-delà du sommet de la colline.
Un escalier monte la colline à la gauche de l’entrée nord de l’édifice. Les chalets 1 et 2 sont partiellement visibles entre les arbres au sommet de la colline. Un sentier de terre relie le chemin à l’entrée et à l’escalier.
À partir du vestibule de l’entrée nord, un escalier descend au sous-sol. Vous pouvez voir la fondation de béton partout ainsi que la structure en bois de l’étage au-dessus. Il y a un éclairage de faible intensité et quelques fenêtres offrent un peu de lumière naturelle. De l’équipement mécanique et deux réservoirs de mazout occupent la majorité de l’espace. Le sous-sol n’occupe qu’une partie de l’empreinte de l’édifice. Le reste de l’empreinte est occupée par un vide sanitaire sombre.
Au rez-de-chaussée se trouvent sept pièces ainsi que la chambre forte située du côté est de l’édifice et un couloir principal reliant l’entrée principale (ouest) à l’entrée nord. Deux escaliers distincts mènent au deuxième étage et un mène au sous-sol. Les murs sont tous en cloison sèche blanche et la plupart du revêtement de sol est en bois peint bleu-gris. Des parties de la peinture du revêtement sont usées jusqu’au bois naturel. Une pièce près de l’entrée principale présente un revêtement de sol en linoléum blanc cassé. Dans le coin sud-est de l’édifice se trouve aussi un laboratoire vacant avec plancher revêtu de linoléum et armoires encastrées comportant des comptoirs noirs et des armoires blanches.
Au deuxième étage se trouvent dix pièces et un couloir principal reliant un escalier à l’autre. Tous les murs sont en cloison sèche blanche et la plupart des revêtements de sol sont en linoléum beige, à l’exception d’une pièce comportant un plancher revêtu de linoléum bleu. Une pièce dans le coin sud-ouest comporte un foyer de brique rouge qui n’est plus fonctionnel car il a été rempli. Une salle de toilette se trouve près du centre de l’édifice. Un carrelage vert recouvre la moitié inférieure des murs et il y a un lavabo et un miroir. La toilette a été retirée.
Au troisième étage se trouvent dix pièces et un couloir principal. Les murs sont en cloison sèche blanche et le revêtement de sol est en linoléum beige. Un escalier descend au deuxième étage et un autre monte au comble. À partir de cet étage, on peut accéder aux passerelles surélevées menant au sommet de la colline du côté est de l’édifice. Une salle de toilette se trouve près de l’escalier principal; un carrelage vert recouvre la moitié inférieure des murs et le plancher est revêtu de bois peint bleu-gris. Elle comporte un lavabo, une toilette et un miroir.
Le comble comporte un revêtement de sol en bois partiellement fini et une structure de toit en bois apparent remplie d’isolant installé entre les arbalétriers. Une cheminée de brique rouge se trouve au centre de l’édifice. Cet étage comporte une pièce finie avec un revêtement de sol bleu-gris, des murs en cloison sèche blanche et des étagères intégrées.
Sources :
- Annuaire des désignations patrimoniales fédérales de Parcs Canada
- Mattie Heritage Enterprises, Station biologique de St Andrews, chemin Brandy Cove, St Andrews (Nouveau-Brunswick). Rapport du Bureau d’examen des édifices fédéraux du patrimoine 97-103.
- Résidence, Station biologique de St Andrews, chemin Brandy Cove, St Andrews (Nouveau-Brunswick). Énoncé de la valeur patrimoniale 97-103.
Le centre de référence de l'Atlantique
Le centre de référence de l'Atlantique(en anglais seulement) est un projet conjoint entre le ministère des Pêches et des Océans, la station biologique de St. Andrews et le Centre des Sciences de la mer Huntsman (CMSH). La collection actuelle est un amalgame de matériaux provenant du MPO et de CMSH. Les deux organisations ont travaillé de près ensemble depuis 1973, pour favoriser ce qui est la seule collection au Canada atlantique. L'installation est située à la Station biologique de St. Andrews.
Centre de référence de l'Atlantique
Gerhard Pohle
Curateur d'invertébrés (CRA), directeur associé et chercheur principal des projets appliqués (Huntsman)
gpohle@huntsmanmarine.ca
506 - 529-1203
Lou VanGuelpen
Curateur des poissons et administrateur des collections (CRA)
arc@mar.dfo-mpo.gc.ca
506 - 529-1203
Contactez-nous
Pour obtenir des renseignements généraux :
125, promenade Marine Science
St. Andrews, Nouveau-Brunswick
E5B 0E4
Téléphone : (506) 529-8854
Télécopieur : (506) 529-5862
Courriel : XMARSABS@mar.dfo-mpo.gc.ca
Pour visiter la SBSA :
La Station biologique de St. Andrews est située dans la ville de St. Andrews, dans le Sud-Ouest du Nouveau-Brunswick. Si vous cliquez sur la carte ci-dessous, vous aurez un lien avec une carte Google de la ville de St. Andrews.
Nous sommes incapables de fournir au public des visites guidées, mais nous vous invitons à visiter notre exposition au Centre des sciences de la mer Huntsman (Anglais seulement).